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« …Je ne te condamne pas non plus, va et ne pèche plus. » Jean 8 : 11

La seule façon de sauver une personne condamnée à mort, une personne dont le sort est déjà scellé par la société et ses lois, c’est de l’amener à Christ. Il est le Seul Magistrat capable de lever la sentence et de nous affranchir définitivement de notre faute, de nos accusateurs, du verdict de mort qui plane sur nous.

Il n’est pas toujours facile d’amener à Christ une personne condamnée à mort. Il faut parfois des circonstances complexes pour qu’elle se retrouve devant le Seigneur, une foule menaçante, une oppression, une maladie incurable… Dans le cas de la femme adultère, les personnes qui l’ont conduite à Christ ne recherchaient pas son salut. Heureusement, elles se sont trompées sur le compte du Maître. Et ce sont elles qui sont tombées sous le coup de Son jugement, leur rappelant leur état de pécheur.

Devant le Seigneur, tu prendras conscience de ton état, mais après, que feras-tu ? Baisseras-tu la tête, le cœur remplit de regret comme la femme adultère, ou tourneras-tu les talons pour retourner à tes mauvaises habitudes comme la foule d’accusateurs ?

Jésus Christ nous aime vraiment. Il est prêt à pardonner toutes nos fautes, Il ne nous méprise pas à cause de nos faiblesses. Les choses qui scandalisent la société et entrainent automatiquement un rejet n’affectent pas Son amour pour nous. Mais, la seule condition pour recevoir Son pardon et expérimenter Sa délivrance, c’est que nous venions à Lui avec un cœur repentit.