OSER DIRE SON BESOIN
par Michel FOREY
Nous retrouvons Jésus avec ses disciples. Souvent, Il les prenait avec Lui et il y avait des entretiens très fructueux pour cette douzaine d'hommes auprès du Maître. Je tire cette constatation d'un verset de l'Evangile de Luc 9 v 11 qui nous montre qu'à un moment donné, les foules se pressaient pour entendre Jésus. On reconnaissait en Lui l'orateur qu'on n'avait jamais connu auparavant :"Jésus les accueillit, et Il leur parlait du Royaume de Dieu." Et puis, cette précision nous est donnée : "Il guérit aussi." Il guérissait, si vous voulez. Dans le texte il est dit : "Il guérit aussi ceux qui avaient besoin d'être guéris."
Besoin : nous avons tous des besoins, mais parfois il faut oser les avouer. Ce n'est pas toujours facile. Avoir besoin de pain, d'eau, ça n'a rien de contraignant, tout le monde le conçoit. Mais certains besoins intérieurs, profonds, sont beaucoup plus difficiles à exprimer. Et pourtant, lorsque Jésus se trouvait au contact des hommes, Il les invitait toujours à faire connaître eux-mêmes leurs besoins. Il n'est pas rare d'entendre Jésus poser cette question à un homme : "Que veux-tu que je fasse ?" C'est à ce moment-là, que celui qui est dans le besoin doit oser définir, oser aller
jusqu'au bout même de la demande. Nous pourrions parfois, avoir l'impression que nous ne demandons qu'une partie ou qu'un aspect des choses.
Maintenant, j'aimerais vous poser cette question : Avez-vous besoin de Jésus d'une façon précise ? Avez-vous besoin d'être guéri ? Avez-vous besoin d'une réponse sur le plan matériel, affectif, dans des débats profonds, internes, anciens qui vous accaparent, qui vous ruinent, qui vous défigurent en quelque sorte, sur le plan moral par rapport à tous ceux qui vous entourent ?
Combien cela parfois est difficile à exprimer ! Mais, quand on est auprès de Jésus, comme vous l'êtes en ce moment même où je vous parle, on peut toujours Lui faire part de ses vrais besoins. Et c'est vous que Jésus veut vraiment toucher et à qui Il a quelque à dire ou à donner. Ceux qui avaient besoin d'être guéris, étaient justement guéris. On peut, à l'extrême, imaginer un malade qui aurait dit : "Moi, je suis très bien comme ça et je n'ai pas besoin d'être guéri !" Certainement, cela peut vous choquer. Mais il est vrai que dans ce cas-là, Jésus n'aurait pas pu intervenir comme Il
intervint pour cet aveugle qui criait de tout son cœur quand bien même on l'arrêtait : "Jésus, Fils de David, aie pitié de moi." Et c'est exactement le cri de votre cœur qui compte en ce moment même où vous je vous parle.
Osez crier ou dire simplement à Jésus votre profond besoin, car Il est venu pour cela et Il aime qu'on s'exprime. Jésus ne bénit pas et ne guérit pas par procuration, ou à votre insu. Il ne serait pas juste que vous puissiez un instant vous imaginer que sans que rien ne se passe entre vous et Dieu, vous puissiez connaître l'amour de Dieu. Il faut que vous puissiez vous engager. Laissez-moi vous parler de ce qui a suivi cette action de Jésus dans cette période de son ministère. Les foules Le pressaient de toutes parts.
Très souvent, Il leur parlait toute la journée du Royaume de Dieu. Mais en leur parlant du Royaume de Dieu, cela ne remplissait qu'une partie des besoins de l'être humain. Et lorsque la journée s'achevait, les disciples eux-mêmes se rendaient compte des réalités physiques.
Alors un jour les disciples ont dit à Jésus : "Renvoie la foule, afin qu'elle aille dans les villages et dans les campagnes des environs, pour se loger et pour trouver des vivres, car nous sommes ici dans un lieu désert." (Luc 9 v 12)
Cela me permet de vous dire, peut-être à votre étonnement, qu'il y a des choses que Jésus n'accepte pas et ne veut jamais faire. Je vous en citerai deux à l'instant. La première chose, c'était cette demande de ses propres disciples : "Renvoie la foule." C'était quelque chose d'impossible à faire pour Jésus, aussi bien pour une foule que pour un individu d'ailleurs. Jésus, par principe ne renvoie jamais personne à vide. Nous en avons un exemple avec Nicodème. C'était un homme versé dans la connaissance de sa propre religion et de son temps, qui était allé voir Jésus de nuit.
Il n'a pas été renvoyé, pourtant l'heure était, semblait-il, très tardive. D'autres se sont trouvés dans des situations difficiles, au moment où Jésus était préoccupé par autre chose, par une autre demande. Ils n'ont jamais été renvoyés non plus. Et c'est de la même manière que nous affirmons encore avec conviction, que cela demeure du domaine impossible pour Jésus. Il ne peut renvoyer quelqu'un qui s'adresse à Lui, ou quelqu'un qui est là devant Lui avec des besoins. La nature même de l'amour de Dieu, c'est d'être toujours ouverte, toujours prête à se manifester selon tous nos besoins.
Un deuxième aspect de ce que Jésus ne peut pas refuser de faire. Le verset suivant, Jésus dit aux disciples : "Donnez-leur vous-mêmes à manger." (Luc 9 v 13). Nous avons ici un point très précis : Jésus refuse de tout faire à notre place. Il y a des choses qu'Il a parfaitement accomplies.
Lorsqu'il y a eu ce moment extraordinaire, où l'amour de Dieu est devenu pressant, Jésus a pu dire "Oui" à son Père Céleste et Il est venu vivre parmi les hommes. Il est venu mourir pour eux sur une croix. Il est venu donner sa vie, son propre sang pour le pardon de nos péchés. Tout cela, il n'était pas question que nous puissions le faire - Il l'a fait. Mais, il y a des choses que nous pouvons et que nous devons faire. Et là, Jésus ne les fera jamais à notre place. En particulier dans cet aspect de : "Donnez-leur vous-mêmes à manger", je pense à tout ce que nous avons par la grâce de
Dieu. Si vous lisez peut-être régulièrement la Bible, le Nouveau Testament, vous vous apercevrez très facilement que nous ne pouvons pas être sauvés par personne interposée. Il y a des choses que vous devez faire à titre personnel. Votre meilleur ami pourrait avoir toute la foi que vous n'avez jamais connue, toutefois il faut que vous puissiez vous-même vous décider maintenant et dire à Jésus, "Oui, voilà je peux faire cela, je peux aller vers toi. Je veux recevoir de toi."
Je vais terminer par ce que Jésus veut faire dans ce cas-là. Il a ce jour-là, multiplié le pain et les poissons qui étaient disponibles. Il a multiplié sa bénédiction et par définition, Jésus est Celui qui multiplie toujours sa bénédiction sur les hommes et qui n'hésite pas à amplifier cette bénédiction jusqu'à ce qu'elle soit sans fin. Elle ne se termine jamais. N'hésitez pas à voir les paniers de pain qui restaient et que vous retrouverez dans l'Evangile. Comme cette image, la bénédiction de Dieu commence aujourd'hui dans votre vie pour n'avoir jamais de fin. Voici ce que je vous propose avec l'aide de la Bible et de la pensée de Dieu dans vos cœurs.
Des tissus de fœtus humains avortés dans les vaccins
Ex-scientifique pour une compagnie pharmaceutique américaine, aujourd’hui à la retraite, Helen Ratajczak a récemment créé une tempête de débats provenant de tous les milieux en publiant un article sur les liens entre l’autisme et les vaccins, article reproduit et commenté sur de nombreux sites Internet(1).
Elle y révèle, entre autres, que l’industrie des vaccins utilise des cellules d’embryons humains avortés. Ces tissus humains sont actuellement utilisés dans 23 vaccins. Pour cette chercheuse, l’incidence de l’autisme, qui ne cesse d’augmenter, pourrait correspondre à l’introduction d’ADN humain dans le vaccin ROR.
L’utilisation des embryons humains
On apprend dans l’article d’Helen Ratajczak qu’un pic dans l’incidence de l’autisme s’est produit en 1995, lorsque le vaccin contre la varicelle fut cultivé sur tissu fœtal humain. Bien sûr, les parents qui faisaient vacciner leur enfant avec ce vaccin l’ignoraient, car cela n’était indiqué nulle part. Il y a là un manque flagrant d’éthique, en dehors de toute position religieuse, car introduire de l’ADN ou de l’ARN humain provenant de fœtus dans l’organisme ne peut pas se faire sans en informer les gens.
Non seulement cette pratique heurte les personnes qui s’opposent à l’avortement ainsi que les croyants qui considèrent que le fœtus a le statut d’être vivant et que l’on ne peut pas en faire n’importe quoi, mais elle met sérieusement en danger les êtres humains par les conséquences sanitaires à long terme que peut avoir une contamination par de l’ADN, des débris cellulaires, des protéines en provenance d’êtres humains.
A noter cependant que le Vatican louvoie au sujet des vaccins fabriqués sur cellules de fœtus : il préconise d’utiliser des vaccins “alternatifs”, s’ils existent (il encourage, d’ailleurs, les recherches dans ce sens), et conseille à ceux qui ont des problèmes moraux de pratiquer l’objection de conscience ; mais il ajoute qu’en l’absence de vaccins alternatifs il faut quand même vacciner avec ces vaccins, la santé de la population étant primordiale(2).
Un autre fait peut aussi nous scandaliser, c’est le trafic de fœtus qui s’est produit dans les années 1980-1990 et qui, très certainement, continue, afin d’alimenter la recherche vaccinale et plus généralement la recherche militaire dans la perspective d’une guerre biologique. Les faits sont racontés dans un livre qui fait froid dans le dos(3).
Les cultures cellulaires
Depuis de nombreuses années, des cellules humaines ont été utilisées dans la fabrication des vaccins, en particulier les vaccins à virus, essentiellement parce qu’elles peuvent servir très longtemps dans les laboratoires et qu’elles sont considérées comme totalement “sûres et inoffensives”, ce qui est loin d’être vrai.
Les bactéries peuvent être cultivées très facilement en laboratoire, mais les virus, pour leur croissance et leur multiplication, nécessitent des tissus vivants. C’est pourquoi l’on a utilisé jusqu’à maintenant des quantités de tissus animaux provenant de poulets, de lapins, de singes, de hamsters, etc.
Le Pr Leonard Hayflick fut le premier aux Etats-Unis a développer des cultures de cellules diploïdes humaines (diploïdes = cellules qui, en se divisant, conservent leur nombre normal de chromosomes présents par paires). Il a notamment fabriqué, en 1962, le premier vaccin oral contre la polio sur ce type de cellules lorsqu’il travaillait au Wistar Institute de Philadelphie (Pennsylvanie)(4).
Ce vaccin n’est plus commercialisé ni utilisé en France depuis de nombreuses années, mais on continue à le faire ingérer sous forme de gouttes aux enfants dans les pays du Tiers-Monde lors des campagnes massives de vaccination.
Ces cellules extraites de tissu fœtal humain (fibroblastes de poumon surtout) ont servi à créer la souche appelée WI-38, qui fut utilisée pour fabriquer le vaccin antipolio au départ, puis celui contre la rubéole, et, par la suite, de nombreux autres vaccins. Plus d’un milliard de vaccinés à travers le monde ont reçu des vaccins contenant la souche WI-38. D’autres cellules humaines sont utilisées également de nos jours, notamment dans la souche MRC-5 (qu’on retrouve dans le vaccin contre l’hépatite A). A titre d’exemple, il a fallu 27 fœtus avortés pour pouvoir isoler, puis cultiver, le virus de la rubéole, dont la souche est appelée Wistar RA 27/3. C’est le professeur américain Stanley Plotkin qui mit au point, en 1969, le vaccin contre la rubéole avec cette souche et c’est encore cette dernière que l’on trouve dans le vaccin combiné actuellement préconisé en France, le MMR Vax Pro et dans tous les vaccins ROR existants.
Les vaccins cultivés sur cellules diploïdes humaines issues de tissus de fœtus avortés sont :
• les vaccins antipolio buvable (WI-38),
• les vaccins ROR ou MMR (RA-27/3) (valence rubéole et oreillons),
• les vaccins contre la varicelle (MRC-5),
• les vaccins contre l’hépatite A (MRC-5),
• les vaccins contre la rage de deuxième génération (Wistar-Rabies).
La souche WI-38 apparut aux Etats-Unis en 1961 : cette lignée provenait de cellules pulmonaires d’un fœtus humain féminin, intentionnellement avorté à trois mois de gestation dans un hôpital suédois.
La souche MRC-5 a été développée au Royaume-Uni en 1966 ; cette lignée était dérivée des cellules pulmonaires d’un fœtus humain masculin, intentionnellement avorté à l’âge de 14 semaines(5).
Beaucoup d’autres souches cellulaires dérivées de fœtus humains ont été préparées aux fins de recherche en pharmacologie et pour la fabrication des vaccins (MRC-9 ; IMR-90 ; HEK 293 ; PER-C6…)(6).
Vaccins et autisme
Les causes de l’autisme sont multiples et ses manifestations diverses.
Une des causes évoquées dans les travaux scientifiques est l’encéphalite post-vaccinale. L’autisme résulte de mutations génétiques et d’une inflammation du cerveau, ce que peut engendrer toute vaccination.
Quant à savoir si c’est l’ADN humain contenu dans les vaccins qui peut provoquer l’autisme, comme le suggère Helen Ratajczak, le débat est ouvert. Mais, si les officiels continuent à nier tout lien entre autisme et vaccins, les arguments qu’apporte cette scientifique après avoir épluché la littérature scientifique sur le sujet, tiennent la route. “De l’ADN humain en provenance des vaccins peut être inséré dans nos gènes par recombinaison, un processus qui ne se produit qu’à l’intérieur d’une même espèce et qui peut perturber le développement du système nerveux central, la formation des synapses et la fonction des mitochondries”, rappelle-t-elle.
Si l’on ajoute à cela l’action destructrice des composants toxiques des vaccins, dont le mercure, on arrive à une véritable épidémie de maladies neurologiques graves liées aux vaccinations.
Françoise JOËT
Françoise Joët est présidente d’honneur de l’association ALIS,
19, rue de l’Argentière, 63200 Riom.
Source : SOS-Crise (Site d'origine)Elle y révèle, entre autres, que l’industrie des vaccins utilise des cellules d’embryons humains avortés. Ces tissus humains sont actuellement utilisés dans 23 vaccins. Pour cette chercheuse, l’incidence de l’autisme, qui ne cesse d’augmenter, pourrait correspondre à l’introduction d’ADN humain dans le vaccin ROR.
L’utilisation des embryons humains
On apprend dans l’article d’Helen Ratajczak qu’un pic dans l’incidence de l’autisme s’est produit en 1995, lorsque le vaccin contre la varicelle fut cultivé sur tissu fœtal humain. Bien sûr, les parents qui faisaient vacciner leur enfant avec ce vaccin l’ignoraient, car cela n’était indiqué nulle part. Il y a là un manque flagrant d’éthique, en dehors de toute position religieuse, car introduire de l’ADN ou de l’ARN humain provenant de fœtus dans l’organisme ne peut pas se faire sans en informer les gens.
Non seulement cette pratique heurte les personnes qui s’opposent à l’avortement ainsi que les croyants qui considèrent que le fœtus a le statut d’être vivant et que l’on ne peut pas en faire n’importe quoi, mais elle met sérieusement en danger les êtres humains par les conséquences sanitaires à long terme que peut avoir une contamination par de l’ADN, des débris cellulaires, des protéines en provenance d’êtres humains.
A noter cependant que le Vatican louvoie au sujet des vaccins fabriqués sur cellules de fœtus : il préconise d’utiliser des vaccins “alternatifs”, s’ils existent (il encourage, d’ailleurs, les recherches dans ce sens), et conseille à ceux qui ont des problèmes moraux de pratiquer l’objection de conscience ; mais il ajoute qu’en l’absence de vaccins alternatifs il faut quand même vacciner avec ces vaccins, la santé de la population étant primordiale(2).
Un autre fait peut aussi nous scandaliser, c’est le trafic de fœtus qui s’est produit dans les années 1980-1990 et qui, très certainement, continue, afin d’alimenter la recherche vaccinale et plus généralement la recherche militaire dans la perspective d’une guerre biologique. Les faits sont racontés dans un livre qui fait froid dans le dos(3).
Les cultures cellulaires
Depuis de nombreuses années, des cellules humaines ont été utilisées dans la fabrication des vaccins, en particulier les vaccins à virus, essentiellement parce qu’elles peuvent servir très longtemps dans les laboratoires et qu’elles sont considérées comme totalement “sûres et inoffensives”, ce qui est loin d’être vrai.
Les bactéries peuvent être cultivées très facilement en laboratoire, mais les virus, pour leur croissance et leur multiplication, nécessitent des tissus vivants. C’est pourquoi l’on a utilisé jusqu’à maintenant des quantités de tissus animaux provenant de poulets, de lapins, de singes, de hamsters, etc.
Le Pr Leonard Hayflick fut le premier aux Etats-Unis a développer des cultures de cellules diploïdes humaines (diploïdes = cellules qui, en se divisant, conservent leur nombre normal de chromosomes présents par paires). Il a notamment fabriqué, en 1962, le premier vaccin oral contre la polio sur ce type de cellules lorsqu’il travaillait au Wistar Institute de Philadelphie (Pennsylvanie)(4).
Ce vaccin n’est plus commercialisé ni utilisé en France depuis de nombreuses années, mais on continue à le faire ingérer sous forme de gouttes aux enfants dans les pays du Tiers-Monde lors des campagnes massives de vaccination.
Ces cellules extraites de tissu fœtal humain (fibroblastes de poumon surtout) ont servi à créer la souche appelée WI-38, qui fut utilisée pour fabriquer le vaccin antipolio au départ, puis celui contre la rubéole, et, par la suite, de nombreux autres vaccins. Plus d’un milliard de vaccinés à travers le monde ont reçu des vaccins contenant la souche WI-38. D’autres cellules humaines sont utilisées également de nos jours, notamment dans la souche MRC-5 (qu’on retrouve dans le vaccin contre l’hépatite A). A titre d’exemple, il a fallu 27 fœtus avortés pour pouvoir isoler, puis cultiver, le virus de la rubéole, dont la souche est appelée Wistar RA 27/3. C’est le professeur américain Stanley Plotkin qui mit au point, en 1969, le vaccin contre la rubéole avec cette souche et c’est encore cette dernière que l’on trouve dans le vaccin combiné actuellement préconisé en France, le MMR Vax Pro et dans tous les vaccins ROR existants.
Les vaccins cultivés sur cellules diploïdes humaines issues de tissus de fœtus avortés sont :
• les vaccins antipolio buvable (WI-38),
• les vaccins ROR ou MMR (RA-27/3) (valence rubéole et oreillons),
• les vaccins contre la varicelle (MRC-5),
• les vaccins contre l’hépatite A (MRC-5),
• les vaccins contre la rage de deuxième génération (Wistar-Rabies).
La souche WI-38 apparut aux Etats-Unis en 1961 : cette lignée provenait de cellules pulmonaires d’un fœtus humain féminin, intentionnellement avorté à trois mois de gestation dans un hôpital suédois.
La souche MRC-5 a été développée au Royaume-Uni en 1966 ; cette lignée était dérivée des cellules pulmonaires d’un fœtus humain masculin, intentionnellement avorté à l’âge de 14 semaines(5).
Beaucoup d’autres souches cellulaires dérivées de fœtus humains ont été préparées aux fins de recherche en pharmacologie et pour la fabrication des vaccins (MRC-9 ; IMR-90 ; HEK 293 ; PER-C6…)(6).
Vaccins et autisme
Les causes de l’autisme sont multiples et ses manifestations diverses.
Une des causes évoquées dans les travaux scientifiques est l’encéphalite post-vaccinale. L’autisme résulte de mutations génétiques et d’une inflammation du cerveau, ce que peut engendrer toute vaccination.
Quant à savoir si c’est l’ADN humain contenu dans les vaccins qui peut provoquer l’autisme, comme le suggère Helen Ratajczak, le débat est ouvert. Mais, si les officiels continuent à nier tout lien entre autisme et vaccins, les arguments qu’apporte cette scientifique après avoir épluché la littérature scientifique sur le sujet, tiennent la route. “De l’ADN humain en provenance des vaccins peut être inséré dans nos gènes par recombinaison, un processus qui ne se produit qu’à l’intérieur d’une même espèce et qui peut perturber le développement du système nerveux central, la formation des synapses et la fonction des mitochondries”, rappelle-t-elle.
Si l’on ajoute à cela l’action destructrice des composants toxiques des vaccins, dont le mercure, on arrive à une véritable épidémie de maladies neurologiques graves liées aux vaccinations.
Françoise JOËT
Françoise Joët est présidente d’honneur de l’association ALIS,
19, rue de l’Argentière, 63200 Riom.